Jour d’élection en Algérie décidé par le chef d’état major, n’est pas jour de fête dans les bureaux de vote dans la capitale. Les encadreurs des bureaux de vote refusent de se faire prendre en photo. Des bureaux déserts où l’on voit de rares enveloppes glissées au fond des urnes matriciels.

A Kouba, à Alger centre et au premier mai, des débuts de rassemblements des citoyens qui rejette cette présidentielle.

A Bejaïa comme à Bordj Menaiel les urnes ont été cassées et les manifestants ont investi les bureaux de vote pour empêcher la tenue de la Présidentielle.

A la rue Victor Hugo arrivent les premiers manifestants de la rue Hassiba Ben Bouali.

Une longue journée ne fait que débuter. Les forces de sécurité appellent aux renforts qui affluent aux quatre coins de la capitale.

A Constantine aussi, on enregistre un faible taux de participation alors que les citoyens ont commencé à défiler dans les rues affirmant leur rejet de la tenue de la Présidentielle dans les conditions actuelles.

A Jijel, les manifestants envahissent les rues pour affirmer leur rejet de la Présidentielle du 12 décembre.