Deux personnes ont été interpellées par les services de police puis déférées au parquet pour avoir diffusé des “fake news”, a indiqué dans un communiqué le ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du Territoire.

L’un est originaire de la wilaya de Chlef, suspecté d’avoir diffusé une prétendue mouture du projet d’amendement de la Constitution sur les réseaux sociaux, alors que l’autre individu originaire de la wilaya de Tiaret, est suspecté d’avoir publié une fausse correspondance ministérielle portant une signature falsifiée du ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du Territoire, concernant ce qu’il a appelé “prime de contagion et prime de risque au profit des éléments de la Protection civile”.

Le ministère de l’Intérieur a en outre affirmé que “la diffusion de rumeurs et de fake news pour semer la confusion et troubler l’ordre public est passible de sanctions fermes conformément aux mécanismes prévus par la loi”.